dimanche 17 mai 2009

Appel au vote lundi 18 mai

Comme annoncé dans les mails du Président de l'Université, un vote aura lieu lundi 18 Mai pour déterminer si la majorité des étudiants veulent reprendre les cours normalement et passer leur examens.

Ce vote a l'avantage de se passer sur l'ensemble de la journée et permettra à un grand nombre d'étudiants de se prononcer sans l'inconvénient des horaires par exemple...

Mobilisons-nous pour en finir avec cette situation !

4 commentaires:

Thierry a dit…

Appel historique? une célébration de plus?

Collectif d'étudiants indépendant a dit…

Le rapport de force a changé depuis bien longtemps.
Il est temps de mettre un terme à une situation scandaleuse qui a abouti à des affrontements mercredi.

Thierry a dit…

L'UJM traverse depuis de très nombreuses semaines une période de mobilisation sans précédent dans notre histoire. Cette mobilisation est avant tout une réponse à des réformes gouvernementales largement rejetées.

Face à une situation dont la responsabilité incombe totalement aux autorités nationales mais dont les conséquences pourraient être localement négatives" C'est de qui?

Collectif d'étudiants indépendant a dit…

Le Président de l'Université a défendu le mouvement pendant 12 semaines au risque de pénaliser une grande majorité d'étudiants.

Il faut des affrontements (qu'il observait du haut de la nouvelle BU...) pour que ce dernier réagisse (contraint et forcé par une directive ministérielle ?)

Ce Président a joué au feu et devrait tirer les conséquences de ces actes (plutôt ces non-actes)

La lecture de ce blog permet de constater l'immobilisme de la Présidence et le "jusqu'au boutisme" d'un petit groupe d'étudiants (à peu prés 35 permanents au Comité de Grève) qui après une énième AG, aux conditions de déroulement plus que douteuse, a réussi à faire voter un blocage de tout le campus Tréfilerie avec 150 voix.

Se sentant sans doute en minorité, les voilà barricadés le lendemain matin avec des sauts de denrées nauséabondes empêchant l'accès aux cours.

Enfin, cette "mobilisation", caractérisée par un taux de participation aux AG qui confinait très souvent au ridicule (15 %) n'a pu durer aussi longtemps qu'avec l'accord implicite (non reconnaissance de l'AG du vote du 1er avril) et parfois explicite (CEVU donnant 2 demi-journée aux 35 étudiants mobilisés...histoire de faire perdre une journée entière pour 5000 étudiants dans un moi de mai déjà rempli de jours fériés) de la Présidence de l'Université qui, à force de ne pas vouloir trop se mouiller, s'est retrouvé avec une situation chaotique mercredi.